Mardi 8 juin 2 08 /06 /Juin 10:30

Il y a des jours où rien ne va, où l'on ne se plaît pas, où tout semble au-dessus de nos forces...

Et puis il a des jours, où l'on sent notre libido à fleur de peau, où un mot, un geste, une attitude, un parfum pourraient nous faire chavirer...où l'on imagine le souffle d'un amant virtuel dans sa nuque, ses mains sur la douceur de sa peau, ses doigts, sa bouche explorant la moindre parcelle, le moindre centimètre carré de notre corps, où l'on rêve éveillée de sensations extrêmes, de  exacerbé, de volupté absolue dans une fusion avec l'autre totalement démesurée, infinie...

Rêverie ? Songe ? Souhait ? Voeu ? ... Si réels, si présents que l'on s'y méprendrait... Ses jours la je me connecte au 08 92 222 402 et c'est vraiment le bonheur :)

Par camille
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Mercredi 5 mai 3 05 /05 /Mai 10:09
Par camille
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Lundi 19 avril 1 19 /04 /Avr 12:34

Imaginez-vous, seul avec moi...
Je suis là rien que pour vous et en plus vous pouvez m'entendre et me demander tout ce que vous désirez. Non, vous ne rêvez pas !
Il vous suffit tout simplement de me choisir et vous serez immédiatement en direct au téléphone avec moi au 08 92 222 402.

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Par camille
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Vendredi 26 mars 5 26 /03 /Mars 11:50

De Edwige (le fichier) à la commande de pizza par téléphone en passant par la standardiste…


Standardiste : « Speed-Pizza, bonjour ! »

Client : « Bonjour, je souhaite passer une commande s’il vous plaît »

Standardiste : « Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ? »

Client : « Mon Numéro d’Identification National ? Oui, un instant, voilà, c’est le 6102049998-45- 54610. »

Standardiste : « Je me présente je suis Habiba Ben Saïd. Merci Monsieur Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre adresse est bien le 174 avenue de Villiers à Carcassonne, et votre numéro de téléphone le 04 68 69 69 69. Votre numéro de téléphone professionnel à la Société Durand est le 04 72 25 55 41 et votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05 05 01. C’est bien ça, Monsieur Lavoie ? »

Client (timidement) : « Ouuiii... »

Standardiste : « Je vois que vous appelez d’un autre numéro qui correspond au domicile de Mademoiselle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique. Sachant qu’il est 23 h 17 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons vous livrer au domicile de Mademoiselle Denoix que si vous nous envoyez un XMS à partir de votre portable en précisant le code suivant : AZ25/JkPp+88 »

Client : « Bon, je le fais, mais d’où sortez-vous toutes ces informations ? »

Standardiste : « Nous sommes connectés au système croisé, Monsieur Lavoie ! »

Client (Soupir) : « Ah bon !... Je voudrais deux de vos pizzas spéciales mexicaines. »

Standardiste : « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, Monsieur Lavoie. »

Client : « Comment ça ???... »

Standardiste : « Votre contrat d’assurance maladie vous interdit un choix aussi dangereux pour votre santé, car selon votre dossier médical, vous souffrez d’hypertension et d’un niveau de cholestérol supérieur aux valeurs contractuelles. D’autre part, Mademoiselle Denoix ayant été médicalement traitée il y a 3 mois pour hémorroïdes, le piment est fortement déconseillé. Si la commande est maintenue la société qui l’assure risque d’appliquer une surprime. »

Client : « Aie ! Qu’est-ce que vous me proposez alors ?... »

Standardiste : « Vous pouvez essayer notre pizza allégée au yaourt de soja, je suis sûre que vous l’adorerez. »

Client : « Qu’est-ce qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza ? »

Standardiste : « Vous avez consulté les ‘Recettes gourmandes au soja’ à la bibliothèque de votre comité d’entreprise la semaine dernière, Monsieur Lavoie et Mademoiselle Denoix a fait, avant hier, une recherche sur le Net, en utilisant le moteur ’_http://www.google.fr ’_ avec comme mots clés "soja" et "alimentation". D’où ma suggestion. »

Client : « Bon d’accord. Donnez-m’en deux, format familial. »

Standardiste : « Vu que vous êtes actuellement traité par Dipronex et que Mademoiselle Denoix prend depuis 2 mois du Ziprovac à la dose de 3 comprimés par jour et que la pizza contient, selon la législation, 150 mg de Phénylseptine par 100 g de pâte, il y a un risque mineur de nausées si vous consommez le modèle familial en moins de 7 minutes. La législation nous interdit donc de vous livrer. En revanche, j’ai le feu vert pour vous livrer immédiatement le modèle mini... »

Client : « Bon, bon, ok, va pour le modèle mini. Je vous donne mon numéro de carte de crédit. »

Standardiste : « Je suis désolée Monsieur, mais je crains que vous ne soyez obligé de payer en liquide. Votre solde de carte de crédit VISA dépasse la limite et vous avez laissé votre carte American Express sur votre lieu de travail. C’est ce qu’indique le Credicard Satellis Tracer. »

Client : « J’irai chercher du liquide au distributeur avant que le livreur n’arrive. »

Standardiste : « Ça ne marchera pas non plus, Monsieur Lavoie, vous avez dépassé votre plafond de retrait hebdomadaire. »

Client : « Mais ?... Ce n’est pas vos oignons ! Contentez-vous de m’envoyer les pizzas ! J’aurai le liquide. Combien de temps ça va prendre ? »

Standardiste : « Compte-tenu des délais liés aux contrôles de qualité, elles seront chez vous dans environ 45 minutes. Si vous êtes pressé, vous pouvez gagner 10 minutes en venant les chercher, mais transporter des pizzas en scooter est pour le moins acrobatique. »

Client : « Comment diable pouvez-vous savoir que j’ai un scooter ? »

Standardiste : « Votre Peugeot 408 est en réparation au garage de l’Avenir, par contre votre scooter est en bon état puisqu’il a passé le contrôle technique hier et qu’il est actuellement stationné devant le domicile de Mademoiselle Denoix. Par ailleurs j’attire votre attention sur les risques liés à votre taux d’alcoolémie. Vous avez, en effet réglé quatre cocktails Afroblack au Tropical Bar, il y a 45 minutes. En tenant compte de la composition de ce cocktail et de vos caractéristiques morphologiques, ni vous, ni Mademoiselle Denoix n’êtes en état de conduire. Vous risquez donc un retrait de permis immédiat. »

Client : « @#%/$@& ?# ! »

Standardiste : « Je vous conseille de rester poli, Monsieur Lavoie. Je vous informe que notre standard est doté d’un système anti-insultes en ligne, qui se déclenchera à la deuxième série d’insultes. Je vous informe en outre que le dépôt de plainte est immédiat et automatisé. Or, je vous rappelle que vous avez déjà été condamné en juillet 2009 pour outrage à agent. »

Client (sans voix) : « .... »

Standardiste : « Autre chose, Monsieur Lavoie ? »

Client : « Non, rien… Ah si, n’oubliez pas le Coca gratuit avec les pizzas, conformément à votre pub. »

Standardiste : « Je suis désolée, Monsieur Lavoie, mais notre démarche qualité nous interdit de proposer des sodas gratuits aux personnes en surpoids. Cependant à titre de dédommagement, je peux vous consentir 15 % de remise sur une adhésion flash au contrat Jurishelp, le contrat de protection et d’assistance juridique de Speed Assurance. Ce contrat pourrait vous être utile, car il couvre, en particulier, les frais annexes liés au divorce. Vu que vous êtes marié à Madame Claire Lavoie, née Girard depuis le 15/02/2008 et vu votre présence tardive chez Mademoiselle Denoix, ainsi que l’achat il y a une heure à la pharmacie du Canal d’une boîte de 15 préservatifs et d’un flacon de lubrifiant à usage intime... À titre promotionnel, je vais faire joindre aux pizzas un bon de 5 euros de réduction pour vos prochains achats de préservatifs, valable chez Speed-Parapharma. Toutefois veuillez éviter les pratiques susceptibles d’irriter les hémorroïdes de Mademoiselle Denoix, pour lesquelles Speed-Parapharma se dégage de toute responsabilité ... Vu ce que je lis sur vos préférences sexuelles... Bonsoir Monsieur, merci d’avoir fait appel à Speed Pizza... et... BON APPÉTIT ! »
Par camille
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Lundi 15 mars 1 15 /03 /Mars 11:44

Soirée surprise très gourmande:

Je t’attends avec impatience ce soir, avec une énorme envie de coquineries et de te prodiguer des caresses sensuelles à n’en plus finir ! Tu es long à arriver et en ton absence je me plais à imaginer nos tendres retrouvailles toutes en câlins et à l’écoute de nos sens en ébullition. Mes yeux se font déjà plus brillants de désir et je me pourlèche les babines de cette gourmandise érotique, qui tarde à venir.

En manque de ta chaude présence et mon désir sexy activant mon imagination féconde, je m’en vais prendre une douche parfumée pour préparer ma peau à quelques jeux plus tentants. L’eau ruisselle sur mon corps, je ferme les yeux en pensant que – si tu étais là mes côtés – ce serait ta langue habile qui me parcourerait de vibrations émoustillantes. Mes seins pointent d’excitation sous la pression de mes doigts, mon bas-ventre me titille et du pommeau de douche gicle un puissant jet d’eau chaude sur mon clito fébrile … ah cette divine sensation de frisson qui me traverse l’échine … un râle de plaisir accompagne mon petit orgasme solitaire !!!

Je t’entends entrer doucement dans la salon et te laisser choir dans le divan. Tu as besoin d’un peu de chaleur câline pour oublier tes soucis quotidiens et je n’attends que çà …
Encore toute excitée de cette première jouissance clitoridienne, que mes doigts et le jet d’eau bienfaisant viennent de prodiguer à mes sens enfiévrés, je reprends mon souffle et souris malicieusement au miroir, face à ma douche.

« A toi maintenant, mon petit diable coquin, de subir mes assauts sensuels ! « J’enfile un léger peignoir de bain négligemment entr’ouvert et pénètre dans le salon, tout féline et prête à partir à la découverte de nouvelles sensations à deux. Tu me regardes avec un certain étonnement, mais ton regard d’ange semble prêt à me laisser te prodiguer les derniers outrages à ta timide vertu effarouchée (LOL). En tous cas, ton sourire complice en dit assez pour me convaincre de poursuivre mes envies et de partager avec moi cette tendre ascension de notre libido.

Un éclair de lubricité – inhabituel à ma nature plutôt pudique – traverse un instant mon regard et, c’est avec une curiosité impatiente que tu te délectes déjà de ce qui va te procurer un intense plaisir. Je m’empare d’un foulard dans le tiroir de la commode et te bande prestement les yeux, afin que tu puisses – par sensations tactiles - mieux percevoir l’éveil de tes sens et utiliser ton imaginaire fantasque !

Prestement, je t’ôte tes vêtements et te mets à nu devant moi ; quelle vision tentante de ton torse chaud que je couvre de baisers … de ton entrejambe que je lèche avec ferveur … de ton membre tentant qui gonfle d’excitation impatiente. Mon peignoir de bain prend rapidement le même chemin que tes habits, qui jonchent négligemment le sol.

Nos corps à présent très fébrilement proches l’un de l’autre, je te prends une main et la pose sur mes seins tendus vers toi tout en t’embrassant le cou langoureusement … afin que mon excitation reste à son comble pour la suite de nos petits jeux érotiques. Sans plus attendre, tu les soupèses, tu les caresses, tu en fais rouler les tétons sous tes doigts, tu les pinces au gré de ta fantaisie … j’aime tant que tu m’échauffes ainsi les sens …

Lentement, je saisis ton membre viril déjà tout dur d’excitation et au garde-à-vous sous mes assauts sensuels … j’en titille doucement le gland décalotté d’où perlent quelques gouttes que je porte à mes lèvres … dans un nouveau baiser passionné, nous partageons déjà ton nectar sur nos langues enchevêtrées. Mes doigts s’activent à présent sur tes bourses toute gonflées que je malaxe … que je presse … que je malmène au rythme de tes petits gémissements. Pour mieux te faire languir, je me dérobe à tes caresses distribuées à tâtons, abandonne ton membre pour te frôler l’entrejambe et me jouer félinement de ton excitation.

Ensuite, je reviens plus audacieusement vers ta verge tuméfiée qui émet quelques petites saccades de désir. J’entame de puissants va-et-vient tout le long de ta hampe, glisse délicatement mes doigts sur ton méat que je titille, que je caresse, que je taquine au gré de ma fantaisie coquine … je t’entends soupirer d’aise, ce qui m’incite à continuer !

Je me penche lentement vers ton pubis et ma langue vient coquinement remplacer mes doigts … je lèche ta verge luisante sur toute sa longueur … je suçote doucement ton gland qui gonfle entre mes lèvres … mon excitation s’accroît à la cadence des soubresauts de ta virilité ! Ah si tu pouvais voir à quel point mon désir de toi croît … mais tu ne peux que ressentir par quelques légers attouchements sur mon clito tout gonflé que je mouille déjà abondamment … tes doigts sont à présent humide de cyprine, que tu portes prestement à ta bouche.

J’en veux plus de ce sexe appétissant … fébrilement, je me colle contre ton corps chaud, je t’embrasse plus suggestivement en ondulant des tétons durcis contre les tiens … puis je fais glisser ton gland le long de mes lèvres intimes, entr’ouvre ma chatte bouillante et me caresse le bourgeon d’amour avec le bout de ton pénis tendu à l’extrême. J’halète de plaisir en harmonie avec tes sensations croissantes d’orgasme imminent. Tes gémissements s’accentuent … quel bonheur de te donner ce plaisir d’amour !

Tu arc-boutes ton bassin impatiemment vers moi, prenant appui sur tes mains … tu es à présent en position oblique semi-allongé, les jambes largement écartées, m’offrant ta fière virilité en te pourléchant déjà les lèvres de ce qui va suivre … toujours assise, j’avance ma chatte trempée contre toi ; lentement ma corolle s’ent’rouvre face à ton pieu que je dirige vers mon antre d’amour … je me presse encore un peu plus contre ton intimité en ondulant des hanches … je viens m’empaler sur toi avec volupté … tu ressens cette pression et d’un coup de reins plus sauvage tu t’engouffres profondément en moi …

Tu es à présent chaudement enserré dans mon fourreau … tu gémis de plaisir … tu me murmures de ne plus te faire languir trop longtemps … tout en me caressant à l’aveuglette chaque parcelle de peau accessible, tu effectues quelques petits mouvements pour pilonner mon vagin … je sens mon désir de toi s’accroître en cadence et par mon petit feulement sauvage, tu comprends que je suis prête à jouir avec toi … enfin dans un râle profond, tu expulses violemment ta sève brûlante dans mon antre … ce qui nous procure l’orgasme puissant tant attendu !

Nous nous serrons encore un moment l’un contre l’autre, le temps de tendrement reprendre notre souffle entre deux baisers voluptueux. Doucement, tu retires le foulard de tes yeux et me regarde en souriant … nous sommes épuisés mais heureux d’avoir ainsi pu prendre le temps de (re)découvrir nos corps et de faire exulter nos sens en parfaite complicité intime.

Hélas, il est l’heure de nous quitter. Après encore quelques baisers passionnés échangés avec ferveur, tu te rhabilles à contrecœur et dans un silence serein de nos stimulations sensorielles apaisées, j’enfile mon peignoir pour te raccompagner à ma porte, avec une tendre promesse jubilatoire aux lèvres de nous revoir bientôt pour renouveler cette merveilleuse expérience sensuelle, qui nous a procuré tant de vibrations de plaisir … je t’adore, mon ange, qui se transforme en petit diable coquin au gré de nos désirs amoureux !

L'AMOUR EN DIRECT ET IMMEDIAT!

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Par camille
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