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Nous étions jeunes, nous étions fous, nous étions amoureux, nous étions prêts à tenter

tous les plaisirs et désirs que notre liberté nous permettait !

Tous deux à la Fac', nous vivions au jour le jour et savourions chaque moment passé

ensemble. et nous avions fait tous les deux l'apprentissage des plaisirs de la chair et

des ébats libertins.

Régulièrement, je le rejoignais dans sa chambre d'étudiant et - au gré de nos montées

de libido - nous faisions l'amour à tout heure du jour. Il avait réussi à m'ôter mes petites

inhibitions et me faire dépasser les limites de ma timidité pour me lâcher à

l'assouvissement de fantasmes de plus en plus osés.

J'aimais la tendresse passionné de ses baisers, la vigueur de ses étreintes,

l'endurance des plaisirs sensuels qu'il me prodiguait ; il aimait me faire lâcher prise, me

faire gémir sous ses caresses de plus en plus poussées, me laisser lui prodiguer

d'intenses fellations, me titiller les pensées coquines par son imagination de plus en

plus suggestive, quant à nos futures expériences.

J'aimais ses larges épaules et son regard malicieux, ses fesses fermes et

appétissantes, son corps musclé et son membre viril qui me procurait tant de bien. De

mon corps, il appréciait mes seins lourds, ma peau douce et mon petit cul rebondi.

Donc voilà ...

Un matin, alors que je suis en plein cours dans un auditoire, il m’envoie par

l'intermédiaire d'un de ses copains - un petit message sibyllin : « Ma petite chérie, je

n’ai pu oublier nos merveilleuses étreintes d'hier soir (il est vrai que ce fut très chaud et

j'en garde encore de merveilleux titillements dans le bas-ventre !), j’aimerais donc te

rendre la pareille … comme tu peux le voir, me voici tout à ta disposition, prêt à

assouvir ton fantasme ; tiens-moi au courant dès que possible ; je t'aime et je t'attends

avec impatience, bisous »

Légèrement surprise par cette nouvelle proposition érotique, je prends un moment

pour réfléchir à cette invitation assez osée mais me remémorant les sensations

intenses que j’ai ressenties lors de notre dernière intense étreinte je me dis « Après

tout, on ne vit qu’une fois … jouons ce jeu si tentant et vivons cette fois mon fantasme :

un lieu public ! ».

J’en oublie ma timidité et toute excitée, je lui réponds « D’accord et merci, mon bel

étalon … rendez-vous cette après-midi – 14 h 30 - au cinéma ABC (+ adresse) … j’y

serai installée dans la pénombre de la salle, dernière rangée … viens vite m’y rejoindre

et STP ne mets pas de boxer, je n’aurai pas de petite culotte non plus ! » Pas le temps

de songer trop à mon impulsivité, je transmets ma réponse au copain complice et

attend avec excitation sa réponse … qui ne se fait pas attendre plus de quelques

minutes. Dès la pause du cours, le copain me remet un autre petit papier : « OK, ma

Belle, je viendrai … coquine va … j’en bande déjà ! »

Et bien, me voilà bien embarquée (j’espère !) vers de nouvelles extases et plus moyen

de reculer. La matinée s’écoule bien trop lentement à mon goût, car mon excitation

croît au rythme des heures qui passent et l'heure fatidique arrive enfin : j’ai zappé les

cours cette fois pour me préparer à cette nouvelle rencontre de plaisirs, car même si

nous ne verrons pas beaucoup dans la pénombre, cette sensuelle obscurité laisse

toutefois deviner l’apparence … à nouveau, une épilation parfaite de mes jambes et de

mon pubis, une peau adoucie par des soins corporels, un soutien-gorge de dentelle,

une petite robe fermée par de multiples petits boutons sur le devant (pratiques çà …

hihihi !!!) et des bas fins se terminant par une petite dentelle au haut des jambes.

Pour être certaine de bien avoir les places que j’ai désignées à mon amant, j’arrive une

demi-heure à l’avance au rendez-vous, prends mon ticket et vais m’installer dans cette

fameuse dernière rangée du cinéma, finalement peu fréquentée en début d’après-midi.

Les quelques spectateurs présents sont installés plus à l’avant et observent avec

étonnement cette jeune fille qui va s’isoler ainsi … je leur souris en passant … s’ils

savaient ce que je prépare !

Une montée de chaleur m’envahit en imaginant déjà les coquineries qui nous attendent.

Nerveusement, je tourne et tourne mon bracelet-montre … pourvu qu’on éteigne les

lumières et que la projection commence, car le but est bien de retrouver mon étalon

dans l’obscurité !!!

Mon voeu est finalement exaucé, car la salle s’obscurcit et – dans un musique assez

assourdissante – le documentaire d’avant film commence. Mes sens sont en émois, je

me tortille sur mon siège car ma fébrilité à le retrouver fait déjà mouiller d’envie, je

scrute la pénombre toute énervée … quand soudain je vois apparaître une stature virile

impressionnante … serait-ce lui qui s’avance dans l’escalier ??? … il hésite, avance,

cherche les sièges, s’arrête, fait mine de s’asseoir … non, çà doit être un autre

spectateur, zut !!! … mais il se relève, jette un regard d’ensemble sur la salle, aperçoit

ma silhouette enfouie dans son siège … et vient finalement s’asseoir à mes côtés …

c’est lui !!!

« Coucou ma petite chérie, çà va ? » me murmure-t-il d’une voix chaude avec une

pointe de malice dans le ton … je parviens à peine à chuchoter « Oui, c’est bien moi,

mais STP ne faisons pas trop de bruit ! » … Ouf, nous nous sommes retrouvés … mais

le fait de s’apercevoir même très vaguement laisse planer une intense excitation entre

nous … un silence pesant s’installe … nos regards sont fixés sur le grand écran …

aucun de nous ne bouge … je fonds littéralement sur place, tellement je suis

impressionnée … il se tourne enfin vers moi, passe son bras autour de mes épaules et

m’embrasse fougueusement … « On se connaît, non ? » me dit-il en souriant … « Oui,

je pense aussi » (malin, comme réponse !) … nous éclatons d’un rire nerveux, ce qui

fait se retourner nos compagnons de salle … pardon, chut !!!

Bien, comme cette fois il a fait les premiers pas … c’est mon fantasme … à moi donc

de me lancer dans les préliminaires ! Toute tremblante d’émotions, mes mains viennent

se balader « mine de rien » sur sa jambe … remontent vers sa cuisse musclée …

caressent son entrejambe déjà bien connue mais si tentante … il semble apprécier car

il écarte les genoux et s’adosse plus confortablement vers l’arrière …

J’ai à présent trop envie de suivre mon instinct … rouge d’émotion (mais çà ne se voit

pas trop !), je dégrafe sa ceinture …. frôle langoureusement le tissu qui semble le

serrer … descend la tirette de son pantalon qui s’ouvre comme par enchantement sur

sa verge plutôt impressionnante … mmmhhhh, qu’elle est tentante déjà à moitié

dressée (et en plus, il a tenu parole : pas de boxer !) … je me penche légèrement vers

lui pour faire glisser son pantalon sur ses talons et le voilà dénudé tout à mes fantaisies

coquines … même si je connais bien son corps, à chaque fois mon émoi monte d'un

cran !

Mon compagnon de jeu veut quand même aussi s’assurer que j’ai tenu ma promesse …

il soulève doucement ma robe et passe sa main entre mes cuisses … OK, pas de

culotte ! … je frémis de sentir ses doigts me caresser l’intimité … mon bourgeon gonfle

de désir … j’étouffe un petit cri d’excitation … mais il se retire aussitôt ses doigts

humides de cyprine, me laissant languir !

Toute émoustillée, je m’emploie à faire durcir son sexe tendu … je lui titille les bourses,

passe la paume de ma main le long de sa verge … joue un peu avec son bel engin (et

oui, je sais qu'il adore çà et çà m'excite d'avantage!) … je le branle un peu, glisse mes

doigts sur son gland … je sens son érection monter … son pénis gonfle dans ma main

… mes doigts virevoltent autour de sa hampe … il gémit doucement des premiers

plaisirs … je le laisse reprendre son souffle … il semble attendre fiévreusement que je

reprenne mes petites masturbations, mais à son tour quand même un peu !

J’ai soulevé ma robe au-dessus de mes fesses et suis assise au bord de mon siège …

j’écarte les cuisses offertes ainsi à ses attouchements passionnés … je l’embrasse

langoureusement pour l’encourager ! Alors lentement il approche sa main de ma chatte

béante…cherche mon clito entre mes lèvres intimes … le titille de son pouce et pénètre

deux doigts dans ma grotte d’amour … mmmhhhh que c’est bon de le sentir en moi …

pendant ce temps, ma main retourne fiévreusement sur sa queue et lui prodigue de

longs mais puissants va-et-vient … nos soupirs respectifs se font entendre

perceptiblement dans la salle obscure …

Alors tout en continuant à faire nos jeux de langues, nos caresses se font de plus en

plus intimes et torrides dans la salle obscure … un homme assis quelque rangées plus

bas tourne sa tête. Il se doute de quelque chose. Il se lève et monte le long du mur

pour se mettre à l’extrémité de notre rangée de sièges et mine de rien il nous observe.

Ce petit manège m'excite d'autant plus et je présente mes fesses nues à sa vue tout on

me dandinant légèrement ... l'inconnu sort sa queue de son pantalon et commence à se

masturber frénétiquement en nous regardant ... mes yeux brillent de lubricité en voyant

sa magnifique érection !

Mon amant a envie de mieux sentir ma peau et déboutonne ma robe en haut … mmm il

apprécie que j'ai déjà dégrafé mon soutien aussi…. Sa main glisse dans ma robe

ouverte et sort mes beaux seins blancs. Je sursaute : « Non, mais que ce que tu fais.. !

Le type peut nous voir » , mais il répond et ses lèvres se dirigent vers mes aréoles, il

prend un de mes tétons entre ses lèvres et avec la pointe de sa langue il joue avec ...

mmmmhhhh, quelle habileté à me donner cet immense plaisir ! Je jette un petit coup

d’oeil à notre voyeur et j'avoue que cela nous excite tous deux …

Bien sûr et nous n’avons pas fini de jouer… Je serre très fort son pénis jusqu'à ce qu'il

me demande « Encore, oui, c'est bon ! » A cause de nos bruits plutôt explicites, une

femme assise plus loin se retourne. Elle nous regarde choquée et dit quelque chose à

son mari. Il regarde aussi, et le couple se lève pour se mettre plus loin en bas de

l’autre côté de la salle. Ils nous lancent un regard de foudres! Nous sourions et

continuons notre étreinte déjà trop loin pour nous arrêter à présent.

Alors mon compagnon se lève et se retourne vers moi, il s’assied sur le dessus du dos

de fauteuil en face de moi, nous n’avons pas beaucoup de place, mais c’est comme ça.

Je lui souris car je sais ce dont il a envie, son pénis dur et à la hauteur de mon visage.

Ma main s'en empare et j'approche ma bouche. Je sens son gland glisser dans ma

bouche, je le suce, ma langue virevolte autour de sa hampe, j'aspire de plus en plus

fort cette belle queue offerte à ma gourmandise… avec un peu de pratique ensemble, il

apprécie de plus en plus mes fellations et me dit "Oui, ma chérie, encore ... tu fais ça

bien, oui très bien… suce moi fort !" Ma main glisse vers ses bourses et même plus

loin. Je lui titille taquinement la raie culière, ce qui le fait soupirer de plaisir ; il ondule

même du bassin !

Entre-temps ses deux mains jouent avec mes seins, les malaxe, leur pince les tétons.

Nous continuons un bon moment. « Viens » me dit-il, « nous changeons de place, tu as

certainement aussi des envies… » je secoue la tête et accentue mon rythme de

succions sur sa queue puissante. Nos mouvements sont de plus en plus saccadés et un

peu bruyants, mais entre-temps le film sur l’écran projette une scène bruyante, ce qui

couvre nos ébats intimes. Les autres personnes dans la salle ne font pas attention,

excepté notre homme voyeur qui continue à se caresser toujours le sexe énorme en

nous regardant.

Mon partenaire s'accroupit alors devant moi et j'ouvre largement les jambes. Sa

bouche se rapproche et il me donne un bisou tendre sur mes lèvres intimes extérieures.

Je tremble d’excitation. Je sens sa langue chercher sa voie entre mes lèvres. Oui il

commence à goutter ma cyprine, il me lèche, ses doigts ouvrent ma chatte trempée et

la pointe de ma langue tourne autour de mon clito. Je gémis de bien-être. Il me

prodigue un merveilleux cunni qui me provoque des palpitations, mais il fait attention de

ne pas encore me faire jouir. Je languis d'impatience ! Ses deux doigts entrent à

nouveau dans mon vagin, entrent et sortent lentement, puis accélèrent leurs

frottements. Mmmmmmhhhhh ! Je mets mes mains sur sa tête et je le regarde, les

yeux suppliant « Viens prends-moi »

Comment allons-nous faire ? Pas trop de place ici.. mais heureusement les sièges

dans cette salle n’ont pas d’accoudoirs. « Mets-toi sur tes genoux sur le siège, je vais

te prendre en levrette. Je me mets en place et lui m’offre la vue de mes parties les plus

intimes. Il vient derrière moi et glisse son pénis tout gonflé dans mon antre bouillant. Il

me murmure que c'est bon de me sentir chaude et toute mouillée autour de son pieu.

Nous voyons le type qui c’est un peu rapproché, il nous regarde faire, maintenant il est

en pleine éjaculation. Nous commençons notre va et vient. Le fait d’être observé ajoute

à l’intensité de notre plaisir. Nous avons des difficultés à ne pas faire trop de bruit ….

Je sens au plus profond de moi que notre orgasme n’est pas loin. J'arrive juste avant

lui, mais très rapidement il éjacule sa chaude semence profondément dans mon vagin.

Nous jouissons dans un plaisir profond. Avec regret il sort de mon antre d'amour. Il sort

un mouchoir en papier de sa poche et m'en donne également.

Nous nous asseyons le souffle court, il met son bras autour de moi et m'embrasse

fiévreusement. Nous sommes toujours partiellement nus. Le voyeur a remis son

pantalon, il nous dit un au revoir et quitte la salle. Nous décidons de nous habiller

convenablement. Il me propose alors qu’on prenne un verre dans les environs, car le

même soir il doit retrouver quelques copains qu'il aimerait me faire rencontrer. "Quelle

autre idée libertine as-tu encore en tête" lui dis-je langoureusement ? " Mais chut, ce

sera la surprise !!!

Ah en sortant nous rendons compte que nous avons donné des idées. Dans la dernière

rangé de l’autre bloc, un jeune couple s’amuse aussi. Il a sorti un des seins de sa

copine et elle suce le pénis de son copain. On ne les dérange pas bien sûr !

Dehors nous nous promenons main dans la main vers une brasserie. « Tiens, me

demande-t-il, en finale c’est quel film qu’on était supposé voir ? » . Je le regarde

amusée et avec une expression de satisfaction sensuelle « Pas important, nous avons

fait notre propre petit film à nous ! »

Cela fait un certain temps que nous nous appelons, les discussions sont cordiales, j'apprécie beaucoup ta personne, nous nous cherchons... et plusieurs fois... nous nous trouvons !

Tu aimes me chauffer, et j'aime tout autant t'allumer. Enfin, nous avons le temps de nous appeler, tu m'as déjà fait languir en me disant que tu étais dans un bain chaud.
Je décide d'en faire de même, et je t'appelle.

Nous discutons un peu, amusés de nous appeler alors que nous sommes chacun dans notre baignoire... la discussion déraille gentiment, nous sommes un peu empruntés de discuter aussi explicitement de nos envies tout en sachant l'autre nu à l'autre bout du fil... et l'un comme l'autre, nous ne sommes pas des fanatiques du téléphone coquin... ceci dit, ces inhibitions tombent rapidement.

Tu te décris en train de te caresser les seins... je me décris étendu dans la baignoire... entre temps, nous nous imaginons dans la même baignoire... tu serais sur moi, je m'occuperais de ta belle poitrine, tandis que tu ondulerais sous mes caresses.
Inutile de faire des efforts de mises en scène, nos esprits sont sur la même longueur d'onde, nos esprit s'échauffent... nos corps se réclament...

Je laisse mon imagination déferler, je me vois en train de te faire l'amour dans la baignoire, je te décris avec beaucoup de détails mes envies, tu les partages... nous nous renvoyons la balle, la température de nos bains respectifs est froide à côté de nos envies...
T'entendre soupirer à mon oreille... c'est troublant... tu m'indiques que tu te caresses... et comme tu aimerais que je te caresse.
Je te décris comme j'aimerais te faire l'amour, je sais comment tu en as envie, et cette envie est partagée... petite gourmande que tu es, je t'entends gémir et avoir un orgasme au téléphone... ce qui m'excite divinement.

Nos imaginations se lâchent totalement, nous nous confions nos fantasmes, et nous nous imaginons les réaliser ensemble, sans tabou, sans retenue... je me caresse, ta chaude voix me donne envie de toi...
Je m'imagine, t'honorant de mes plus fougueux assauts... et les plus coquins...

Je te confie que j'ai envie de t'entendre te caresser, soupirer encore pendant que nos esprits continuent de fusionner par les coquineries que nous nous racontons... tu me dis que tu vas réessayer, mais tu ne me garantis rien.

Puis il se passe quelque chose de curieux pour moi... une sensation que je n'ai pas souvent, que quand je m'abandonne... je sens mon corps qui rayonne et qui bout de l'intérieur, c'est indescriptible... c'est entre les fourmis quand la circulation s'est interrompue et revient, une mini-crise d'hypoglycémie et toujours l'impression d'avoir le corps qui rayonne en même temps d'énergie... à part que ces trois sensations sont agréables, et violentes car combinées !

En quelque sorte, je n'ai plus l'impression d'être maître de mon corps... ce qui me rend plutôt résistant pour atteindre l'orgasme au passage.

Tu dois sentir à ma voix que mon plaisir est puissant, nous nous lâchons totalement sur le vocabulaire ainsi que nos envies, je t'entends gémir... et cette fois, ça y est, entendre ta voix en train de gémir me met enfin en route vers l'orgasme, tu es en train de jouir une deuxième fois de ton côté... et moi mon plaisir est en train de grimper à vitesse grand V... et toujours mon corps qui bouillonne de l'intérieur... c'est presque palpable sur mon cou...

ça y est, tu m'entends jouir, j'explose littéralement de plaisir, des vagues délicieuses et violentes me submergent, une libération des sens...


Je peine à retrouver mes esprits...
Et nous nous apercevons que notre téléphone coquin... a duré plus d'une heure !
(une heure que nous nous donnons du plaisir ensemble... )

Tu es stupéfaite de ma résistance... et au passage tu me glisses que tu atteins plutôt rarement deux fois l'orgasme ainsi... j'en suis flatté.

Pour ma part, je te donne mes félicitations... car les femmes qui m'ont fait ressentir cette sensation se comptent sur les doigts d'une main... et il y a encore de la place.

Je sais que ce n'est pas raisonnable... mais je n'ose à peine imaginer si nous nous rencontrions...