Jeudi 19 novembre 4 19 /11 /Nov 17:37

Nous sommes assis sur le canapé, mon mari Docteur Bob et moi, l’un près de l’autre, en nous caressant doucement. Nous venons de faire l’amour et nos corps chauds se calment peu à peu dans la tendresse qui nous enveloppe. Une de mes mains masse doucement sa poitrine, et lui a posé la sienne sur ma touffe. Nous sommes bien, c’est un moment de calme et de bonheur que nous partageons. Parfois, se tête se soulève un peu , se tourne vers moi pour m’embrasser lentement. Nous sommes tout entiers occupés à savourer ce moment privilégié où nos corps satisfaits nous plongent dans la tendresse. Je le regarde et je le trouve si beau. Son visage est encore illuminé par l’amour.

Nous parlons librement de nous, de nos désirs intimes, et la conversation se porte sur nos fantasmes. Docteur Bob me dit qu’il paraît que ceux-ci gouvernent toute notre vie sexuelle.

" Eh bien, tu dois en avoir beaucoup car ta vie sexuelle m’a l’air bien remplie ", je lui dis. Raconte-moi ces fantasmes. Sûrement que ça va me faire jouir de t’entendre. " " Coquine infirmière, tu sais bien qu’un fantasme c’est quelque chose de personnel, c’est le domaine privé de chacun. " " Parle-moi de tes fantasmes ", j’insiste avec douceur. " Je veux les connaître, pour t’aider à les réaliser. " " Mais est-ce qu’un fantasme doit être réalisé ? On risque d’être déçu. Et puis, c’est un rêve, mais je ne voudrais pas le réaliser. Tu es la seule que j’aime et avec qui j’ai envie de faire l’amour. " " A quoi penses-tu dans ces moments là ? " " A toi, je pense à ton corps, je pense que je vais te donner tout mon amour et qu’il va te remplir ton petit trou ". " Tu as bien un rêve secret ? Tout le monde en a un. Dis-moi ce que c’est". " Tu sais c’est tellement personnel. Et puis tu serais fâchée d’apprendre que tu ne fais peut-être pas partie de ce monde imaginaire ." Il hésite un instant, ouvre la bouche : " Moi, c’est les jaunes... les petites chinoises ou les japonaises ... Je les vois dans mes rêves, de vraies salopes... elles me font jouir. " " Quoi ? Tu as du goût pour l’exotisme ! Tu veux peut-être qu’on parte en vacances en Thaïlande ? " " Tu vois, tu commences à te moquer et à plaisanter " me dit-il d’un ton mi sérieux, mi attristé. " Tu sais bien que ce n’est rien de plus qu’une idée dans ma tête, mais que c’est toi que j’aime et ne veux baiser que toi. Je ne sais pas pourquoi mais tout ça m’excite... le raffinement de l’Extrême Orient. Il paraît que, dès leur enfance, on apprend aux filles toutes les techniques pour bien faire l’amour. Elles connaissent tous les trucs qui rendent un homme fou au lit. " " C’est ça, les boules de geisha et tout le reste ! "

Je me doute bien du cinéma qu’il se fait dans sa tête. Des petites encore toutes jeunes, une sur chaque genou pour commencer. Il doit imaginer qu’elle lui font des caresses inconnues en Europe qui le font bander puis jouir avec un plaisir inimaginable, la poupée chinoise, la roue, le chariot de feu, le grand portail...

Ses mains se sont arrêtées sur mon corps, il est devenu songeur. L’aurais-je vexé ? Aurais-je eu tort d’essayer de rentrer dans sa vie secrète ? Que faire pour lui ? Je prends sur moi de lui dire : " Tu veux connaître mon fantasme... Si je te le dis, tu vas pouvoir te moquer de moi à ton tour et nous serons à égalité. "

Il ne répond pas.

" Quand je fais des rêves érotiques, ma plupart du temps, je me fais baiser par un homme avec un engin de taille géante. Je rêve qu’il me pilonne avec, je le sens battant le fond de mon vagin, si gros qu’il me déchire presque. Il a tellement de jus que je suis aussi inondée que si quatre ou cinq hommes s’étaient déversés dans moi .... Voilà, je l’ai dit ! " Je m’arrête, je le regarde et vivement il réplique : " Je ne te satisfais donc pas ? Il te faut un monstre ! " " Mais non, pas du tout, c’est comme toi, c’est une idée, un rêve, c’est de l’imagination, mais ça n’a aucune réalité. "

Il n’a pas l’air convaincu.

" Tu sais bien que tu as une belle bite, grosse, longue et bien juteuse. Tu sais bien que tu me fais jouir comme une cochonne et que tu me fais hurler de plaisir. " Mes deux mains descendent jusqu’à son sexe et commencent à s’en occuper avec douceur . Je vois son visage se détendre, un sourire apparaît, sa queue enfle, il grogne un peu de plaisir, il m’embrasse profondément et je sais que tout est oublié, je retrouve mon amant, chaud et amoureux.

Par camille
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